Les économies directes
Pour commencer, les économies directes, celles commençant lorsque l’on coupe la source d’énergie sous le plat, c’est évident. Les calculs théoriques nous annoncent des économies allant jusqu’à 90%. C’est beaucoup et surtout possible pour certains plats à cuisson longue ou des usagers peu scrupuleux initialement. La moyenne d’économie se situe autour de 60-80% d’économie d’énergie.
Les économies indirectes, il y en a plusieurs !
Plus (ou moins) de hotte d’aspiration en été ou en hiver.
Dans un premier temps, la cuisson douce vous évite de faire fonctionner votre hotte d’aspiration car la valeur, se dégageant particulièrement lorsque la température est égale ou supérieure à 100°, n’est plus un problème.
Une baisse de l’effort de chauffe des radiateurs en hiver par une diminution d’émission de l’humidité
Oui, l’humidité dans l’espace rend le volume d’air humide plus compliqué à chauffer du fait du caractère « calorivore » » de l’humidité dans l’air.
Réduction de l’usage de la climatisation en été
Nous pouvons ajouter à cela le principe de forte diminution de dégagement de chaleur dans le logement en été ce qui évite l’utilisation de la climatisation dans le logement.
En somme, l’usage de ce cuiseur permet un environnement de maison plus stable apportant économie d’énergie d’une part et une meilleure stabilité d’espace d’un point de vue de l’hygrométrie et de la température, deux facteurs très liés.