Car ce niveau de chaleur équivaut à la pasteurisation, en surface, de vos aliments et les purifie d’éventuelles impuretés (attention, un grand nombre de produits peuvent se manger crus et un nettoyage à l’eau suffit pour leur bonne consommation). Cette ébullition est aussi un point facile à juger à l’œil nu. Pas besoin de thermomètre ou autres objet de mesure.
Différents travaux de recherche établissent que la température idéale pour une cuisson douce est de 95°. Cette température est difficile à atteindre parfaitement et maintenir, et, en tout état de cause demande une cuisson plus longue. Il est plus simple d’atteindre les 100° et d’affiner vos techniques de cuisson sous les conseils de spécialistes nutritionnistes certifiés.
Les dangers en marmite norvégienne sont réduit à la question bactérienne, pour cela, il est recommandé de favoriser une montée à ébullition afin de prévenir de ce sujet, finalement, rien de nouveau sous le soleil par rapport à la cuisine traditionnelle. Ne laissez pas à l’air libre votre plat quand il est froid, soyez attentif à sa conservation et réchauffer bien ce qui a été refroidi si la cuisson du plat est trop éloignée du moment où vous le consommez.
A noter : Parce que le cœur de vos aliments peut être moins chaud alors que votre plat est arrivé à ébullition (et d’autant plus si la taille de l’aliment est épaisse), vous pouvez réduire cet écart en les coupant plus « finement ».